Le vapotage et l’invention

DESCRIPTION DU PROCESSUS DE CRÉATION DE QUELQUE CHOSE QUI N’A PAS D’ÉQUIVALENT, À PARTIR DE ZÉRO

Les énergies de l’harmonie et de l’équilibre peuvent-elles être atteintes dans la constance ?

 

Chacun d’entre nous a eu la chance de voir un magnifique oiseau s’élever dans les airs, un moment figé sur un seul point, les ailes déployées, le cou fièrement tendu et la queue gonflée par la puissance tirée de l’atmosphère. C’est un moment d’extase et de maîtrise instinctive de l’absorption des énergies du vent…

 

L’attraction de la terre est comme sans effet…

 

Que ressent l’oiseau à ce moment-là ? Que ressentirions-nous, portés par le vent ? Une poussée de puissance ? Une exaltation ?

 

Pourquoi ce moment de jeu des forces des éléments extérieurs n’est-il pas constant ?

 

Le mouvement vers le bas et la précipitation soudaine du corps de l’oiseau vers le bas – l’instinct du chasseur et le besoin le plus bas de la faim – est ce qui distrait le plus souvent de la liberté du vol plané.

 

Il existe d’autres paramètres distrayants, que nous nommerons et que nous n’aborderons pas dans cet article :

 

Parfois, cependant, le vent, changeant de direction, semble vous inviter à jouer et à trouver un nouveau pied dans l’équilibre du vol à voile.

 

Et parfois, le soleil, d’un simple rayon, invite un oiseau fier à s’élever encore plus haut – à tester sa puissance…

 

Tous les éléments sont des phénomènes de la nature puissante !

 

Et maintenant, revenons aux inventions. L’énergie – quelle partie passionnante et insondable de la science ! En effet, tout ce qui concerne l’utilisation probable des énergies se trouve à la surface des rêves et est caché par les gardiens jusqu’à ce que l’homme soit prêt à l’utiliser pour le bien de tous…

 

Regardons l’expérience des scientifiques qui nous ont précédés et qui ont fait des découvertes dans le domaine de l’énergie sans entrer dans le labyrinthe de la terminologie scientifique.

 

Alors que la découverte était à peine faite, les scientifiques étaient submergés de sentiments : des doutes mêlés à la croyance en la validité de l’idée, des vagues d’immense enthousiasme créatif et le rejet du rocher de l’ignorance, de l’inspiration du Créateur et du dogme conventionnel de l’époque… Et le même sentiment de s’élever dans les hauteurs de la connaissance ; l’enthousiasme du résultat ; le pouvoir de trouver l’élément juste pour contrôler les éléments…

 

Et maintenant, c’est en train de se produire ! Rayons de gloire – une nouvelle découverte est acceptée par le monde, même si l’inventeur, quelques années auparavant, a été brûlé, crucifié, banni, déclaré malade mental….

 

Une nouvelle invention trouve de nouvelles formes d’utilité pour l’homme. Que ressentent ceux qui présentent les résultats de cette découverte comme des produits ?

 

Bien sûr, l’introduction est la naissance du nouveau. C’est la vie au tout début, à la source…. Et au-delà ? Bien sûr, l’inspiration d’avancer à la pointe du temps. Bien sûr, le frisson de la gloire de voir de plus en plus de transformations dans la société grâce à l’introduction d’une nouvelle idée. Y a-t-il des doutes ? Y a-t-il un rejet de la part des conservateurs ? Existe-t-il un cadre de dogmes qui s’opposent à la découverte d’applications de plus en plus nombreuses de l’invention ? S’il y en a un, il est très petit. L’enrichissement rapide et la gloire du succès sont les forces de base qui ont asservi les pionniers de la nouvelle industrie. “L’oiseau planant de l’âme de la création” a plongé par instinct dans les besoins fondamentaux du chasseur affamé et s’est précipité vers le bas en utilisant ses énergies stockées…

Et toute la force gravitationnelle de la Terre a dissous ses bras – la mort… La vanité et la cupidité s’emparent de plus en plus de ceux qui sont passionnés par le progrès. Là où leurs esprits sont désormais dirigés, c’est vers l’application des découvertes à la guerre ! C’est là le point de non-retour… Dans chaque chaos de la guerre, la mort règne déjà.

 

S’efforcer d’améliorer les choses ne signifie pas que la fin sera bonne. Quelque part et d’une manière ou d’une autre, il faut s’arrêter de pécher par impulsion, de courir vers l’abîme….

 

Après avoir partagé avec vous cette petite exploration des sentiments des pionniers, j’ai besoin d’un petit conseil : comment les nouvelles découvertes du présent et de l’avenir peuvent-elles éviter d’être utilisées au nom de la destruction ?

 

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